vendredi 30 décembre 2011

30 décembre.. en congé!

Avez-vous des résolutions pour la prochaine année? Moi, je viens d'avoir un flash... je crois que je vais me remettre à écrire sur mon blogue. Je vais parler de tout et de rien. Comme là, j'ai envie de vous faire part d'ô combien ça fait du bien d'être en congé seule! Mes deux trésors sont chez leur grand-parent à Sherbrooke et mon amoureux travaille. J'ai MA journée à MOI! J'ai loué trois films à mon goût, j'ai fait la grasse matinée et je fais ce que je veux, quand je veux. C'est tout de même pas pire, hein? Je retourne à mes DVD en me prélassant sur mon divan. Joyeuses fêtes et bonne année 2012!

samedi 11 juin 2011

Deep Purple

Mon chum sera fier de moi. Tout d'abord parce que je me remets à écrire des billets sur mon blogue. Ensuite, parce que je vais parler du show qu'on a vu ensemble lundi dernier, soit le 6 juin : Deep Purple à la Place des Arts.


Une première pour moi : je n'étais jamais allée à cette salle de spectacles. C'était extra! Nous étions à la mezzanine, 1re rangée.

La première partie était assurée par Ernie and the Automatics. Deux ex membres du défunt groupe Boston étaient présents : le guitariste Barry Boudreau et le batteur Sid Hashian. Du blues rock bien mené. Au grand plaisir de mon chum, le groupe a interprété un long medley de pièces de Boston. Cela lui a rappelé de bons souvenirs surtout quand le batteur a fait allusion à leur passage à Montréal en 1977... mon chum y assistait à ce show.

Quelle belle vue sur Ian Gillan... et sur l'ensemble du groupe qui était accompagné d'un orchestre symphonique.

La vitesse à laquelle les violonistes jouaient était impressionnante. L'apport de l'orchestre, c'était vraiment quelque chose. Ça donnait un p'tit je-ne-sais-trop aux tounes.

Après le show, pour se calmer les tympans, quoi de mieux qu'une p'tite visite au restaurant l'Express sur Saint-Denis. Tant qu'à veiller tard, vaut mieux le faire dans un endroit sympa où la bouffe est excellente. Ça ne me disait rien de me retrouver dans un bouiboui à patates frites et à hotdogs.

Pour ma part, j'ai dégusté un tartare de boeuf moyennement épicé. Miam! Mon chum a été plus conservateur avec l'onglet saignant et frites mayo.

On dira ce qu'on voudra, mais l'Express est une valeur sûre. Nous n'avons jamais été déçus.

Voici une vidéo live de Smoke on the water.


À bientôt public en délire!

Lien vers l'article du journal Le Soleil concernant le spectacle à Québec.
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/arts-et-spectacles/sur-scene/201106/05/01-4406156-deep-purple-murir-comme-le-bon-vin.php

lundi 4 avril 2011

Se sucrer le bec

Après une pause bien méritée, qui a assez duré diront certains, me revoici en forme, avec de bonnes idées en tête pour alimenter mon blogue et vous faire rire encore une fois.

Pour commencer, je voulais changer le nom de mon blogue, parce qu'au fil des mois à venir, je ne parlerai peut-être pas que de bouffe ou d'expérience culinaire. Je fais donc appel à vous pour m'aider à trouver un nouveau nom à mon blogue. J'avais pensé à : Chronique gourmande... de la vie. Si vous avez des idées, ne vous gênez pas, faites-moi des suggestions.

Pour moi, mars et avril riment avec cabane à sucre. Sirop d'érable, crêpe, oreilles de crisse, beurre d'érable... Ça met l'eau d'érable à la bouche, n'est-ce pas?

Au grand plaisir de mes garçons et de mon chum, nous avons acheté un pot de beurre d'érable. Le test de goût a été effectué dimanche matin sur des crêpes maison. Verdict : delicious!

Pour assouvir l'appétit de mes 3 hommes des sucres, j'ai acheté 2 gallons de sirop d'érable pour passer l'année.

Pour que je puisse y goûter avant qu'il n'en reste plus, j'ai caché le pot de beurre d'érable derrière un gros sac de choux de Bruxelles. Je sais fort bien qu'ils n'oseront pas déplacer ce sac, pas même avec des gants!!!

Une bonne cabane se doit de ne pas être trop commerciale, d'offrir des activités familiales, de bons plats et un bon service, et, bien sûr, d'être à prix raisonnable.

Si vous n'avez pas réservé votre place le printemps dernier pour cette année à la cabane de Martin Picard (Cabane à sucre Au pied de cochon) ou à celle dans le Vieux Montréal (La Cabane) ou si votre portefeuille crie famine, vous pouvez visiter de belles installations en région. Voici mes deux suggestions :
* il est sûrement encore temps d'y aller.

Pour ceux et celles qui ne sont pas trop fan des chansons à répondre, accompagnées d'un « gigueux » ou d'un joueur de cuillers, je vous propose une délicieuse recette pour vous sucrer le bec, et ce, dans le confort de votre foyer. Gracieuseté de Marilyne.

Gâteau au fromage de la cabane à sucre

Ingrédients
  • 16 biscuits « Feuille d'érable » écrasés finement (2 tasses)
  • ¼ tasse de noix de Grenoble hachées finement
  • 1/3 tasse de beurre fondu
  • 3 paquets de fromage à la crème Philadelphia ramolli
  • ¾ tasse de sirop d'érable
  • 3 oeufs
  • 2 c. à soupe de morceaux de noix de Grenoble

Préparation
  1. Préchauffer le four à 350°.
  2. Mélanger les biscuits, les noix et le beurre.
  3. Presser fermement le tout dans le fond d'un moule à charnière de 9 pouces.
  4. Dans un grand bol, battre le fromage à la crème et ½ tasse de sirop d'érable, à l'aide d'un batteur électrique à vitesse moyenne, jusqu'à ce que le tout soit bien mélangé.
  5. Ajouter les oeufs, un à la fois, en battant à vitesse réduite.
  6. Versez le mélange sur la croûte.
  7. Cuire au four entre 45 et 50 minutes ou jusqu'à ce que le centre soit presque pris.
  8. Laisser refroidir complètement et réfrigérer 4 heures.
  9. Au moment de servir, arroser le gâteau avec ¼ tasse de sirop d'érable, parsemer de morceaux de noix de Grenoble.
* Se congèle. Il suffit de ne pas ajouter les garnitures (étape 9 : sirop + noix) et de l'envelopper avec une pellicule plastique et du papier d'aluminium, assez serré. Dégeler le gâteau la veille avant de le servir.

jeudi 9 décembre 2010

5 décembre en fête!

Le 5 décembre, est-ce une date importante pour vous? Pour moi, oui. Il s'agit de l'anniversaire de mon amoureux Christophe.


Nos enfants, Ludovic et Maxence, ont offert un dessin et une belle carte à leur papa chéri.


Comme chaque année, c'est la tradition courtienne (signification : famille Court), nous fêtons ce jour chez son père Hervé.


Étaient présents lors de cet heureux événement :
  • Édith et Hervé
  • Danielle et Christophe (enfants Maxence et Ludovic)
  • Alexandra et Sylvain (enfants Mathilde et Nicolas)
  • « Gère-mène », la voisine d'en bas qui ne supporte pas le bruit. Wo! madame l'intolérante... on ne va tout de même pas ligoter nos enfants à leur chaise!

Avez-vous une petite idée du menu? C'est bien simple : steak sauce au poivre servi avec patates sautées. Pourquoi c'est si facile de s'en souvenir? Ça fait plus de 30 ans que mon chum demande ce menu.

« Pourquoi changer un classique quand c'est bon? », dirait mon chum... je l'entends d'ici. J'avoue qu'il a raison pour ce succulent plat cuisiné par son père, qui est un excellent cuisinier.

Pour ce qui est de l'entrée, c'est au choix du chef.

Cette année, Hervé nous a servi une soupe de marrons. Quel délice! Assaisonnée à point. Mes enfants l'ont adorée, c'est pour dire comment c'était délicieux.


Ensuite, nous avons dégusté une salade de cervelas arrosée d'une savoureuse vinaigrette.


Après le steak de brontosaure (comme dirait Fred Caillou de la série de dessins animés Les Pierrafeu), une petite verte pour digérer avant d'attaquer les bons fromages.


Pour terminer, c'est presque le plat de résistance, le dessert tant attendu par mon chum tous les ans : un pithiviers communément appelé la galette des rois. C'est une oeuvre d'art de pâte feuilletée fourrée de pâte d'amande. Bon à s'en lécher les doigts!

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Une autre date importante qui s'en vient : le 14 décembre signifiant la fin de ma session à l'Université de Montréal et l'approche du congé des fêtes. Mais cela n'indique pas la fin de mon blogue... continuez à me lire. Je poursuivrai la rédaction de billets inédits. En plus de mes billets gourmands, j'élargirai certainement mes horizons vers d'autres intérêts.

Bonne fin de session à tous et joyeuses fêtes!

mardi 7 décembre 2010

Des restants pour la semaine

Lorsque je reçois ma famille et mes amis pour l'anniversaire de mes garçons ou pour toute autre occasion spéciale, je ne sais pas ce qui se passe exactement dans mon cerveau, mais quelques jours avant l'événement, il y a une alarme qui se déclenche à tout coup. Le message qu'elle m'envoie porte sur la peur de manquer de nourriture. Est-ce ce la même chose qui se produit pour vous?

Pourtant, j'établis toujours mon menu à l'avance. Pourquoi ai-je tout de même l'impression que mes invités n'en auront pas assez? Mystère... Vite à mes livres de recettes préférés qui sont :

Il faut que j'y déniche une nouvelle entrée. Bon, j'ai déjà entre autres une salade de pâtes; je ne peux pas en faire une autre. Peut-être une salade de betteraves? Ah! non. Mon fils me lancera quelques jours plus tard : « Maman, maman, MAMAN vient voir! Mon pipi est rouge mauve ». Ne me souvenant plus qu'il aura mangé des betteraves, je courrai aux toilettes, en panique, pour constater qu'il ne s'agit finalement pas d'une hémorragie!

Le jour J : on sonne à la porte; j'accueille mes invités; mon chum sert l'apéritif (porto, Ricard, bière, cocktail, etc.); on passe à table; on chante « Bonne fête »; on déguste le gâteau; on déballe les cadeaux; on dit merci; les invités s'en vont.

Ouf! quelle journée! Allez hop! au balai pour le grand nettoyage.

Je me rends compte rapidement qu'il reste beaucoup de nourriture... avons-nous rêvé? Ce n'est certainement pas la bonne heure qui est affichée sur la cuisinière et les invités sont en route.

Mon chum me pince : non, je ne rêve pas.

Tout le monde est venu et reparti, mais on dirait que ça ne paraît pas. Euh! oui ça paraît, car c'est le fouillis partout dans la maison, mais mon frigo est toujours aussi plein et des plats jonchent la table et les comptoirs.

Encore une fois, ça nous fera des restants pour la semaine! Vive les plats Tupperware, le four à micro-ondes et le congélateur!

vendredi 3 décembre 2010

Un souper de filles

Stéphanie, Karine, Julie, Véronique, Glendy, Francine, moi, Katia et Marie - Charlevoix 2009

Une ou deux fois par année, mes amies et moi nous réunissons pour une soirée de filles. Parfois même pour une fin de semaine. Par exemple, lors de notre séjour à Saint-Urbain dans la belle région de Charlevoix à l'été 2009. Nous avions préparé une bonne raclette à la bonne franquette. Quel délice!

Nous sommes également adeptes du camping économique (0 $ pour camper dans la cour de Marie, Julie L. ou Francine). Que du plaisir fou, fou, fou!

Charlevoix 2009

Lors de nos rencontres, nous n'excluons pas automatiquement nos conjoint(e)s... nous leur demandons s'ils veulent nous accompagner, mais la plupart du temps, ils déclinent l'invitation prétextant qu'ils préfèrent nous laisser entre filles (mon oeil!). Je pense sérieusement que cela fait leur affaire de rester à la maison sans les enfants. Ils peuvent laisser aller leur testostérone en écoutant la trilogie du Seigneur des anneaux ou les six films de Star Wars, en regardant le hockey à RDS ou tout autre sport (ennuyeux) à la télé, en faisant la sieste l'après-midi ou en se commandant une pizza pour homme (extra viande, bacon, saucisse, etc.).


Des souvenirs
Qu'est-ce que ça fait une gang de filles autour d'un bon souper? Ça se raconte des souvenirs du pensionnat (Collège François-Delaplace). Ça rit beaucoup jusqu'à en avoir mal aux côtes ou les yeux remplis d'eau. Ça rit encore et encore! Nous parlons de nos enfants dont nous sommes si fières, de nos projets, de bouffe et parfois de nos chums/blondes. Ça ne peut faire autrement : plus de 20 ans d'amitié, ça vaut de l'OR!

Le contact
Même si nous ne nous voyons pas tous les jours (je n'ai pas de jet pour me rendre à Robertsonville ou à Gatineau... à bien y penser, je pourrais suivre mon cours de pilotage d'avion), nous ne perdons pas contact. Vive les courriels, le téléphone et Facebook. Nos rencontres annuelles ou bi-annuelles sont très précieuses pour moi.

Les repas
Avec nos enfants, nous sommes une bonne vingtaine. La façon la plus économique de nourrir tout ce beau monde est le repas communautaire. Chacune apporte une spécialité : Francine et ses sandwichs, Véronique avec ses desserts, Julie L. avec son succulent pain aux bananes, Marie et ses produits fins et ses fromages, etc. Nous partageons tout, même l'alcool. Un p'tit verre de vin rouge? Une bière? Le bar est ouvert!

Karine, Francine, Sonia, Geneviève, moi (derrière), Glendy, Marie, Véronique (derrière), Katia et Julie - Longueuil 2008

Avant... et maintenant
Au début, il y a un peu plus de dix ans, nous nous rencontrions au restaurant; maintenant avec toute notre belle marmaille, nous optons pour l'une ou l'autre de nos maisons. Lors de nos retrouvailles, il y a une chimie qui opère... c'est inexplicable. Vous devriez nous voir... nous faisons nos folles, mais surtout, nous nous mettons à jour dans nos histoires de coeur, de famille, etc.

Printemps 2005
Que ce soit une sortie à la cabane à sucre ou au verger, le plaisir et la bonne  humeur sont toujours au rendez-vous. Je pense à ça... nous sommes dues pour nous voir. L'idée a été lancée ce matin : prochaine rencontre, après les fêtes à la maison familiale de Marie en Estrie. Quel beau coin de pays (je prêche pour ma paroisse, je viens de cette région).

CFD - 1992 (5e secondaire)
Nostalgie
À bientôt mes amies. Je vous laisse sur une vidéo de la Compagnie créole. Je suis convaincue que dès que vous entendrez les premières notes, votre coeur se remplira d'émotion. Quel beau souvenir du temps où nous étions en 5e secondaire... je n'ai malheureusement pas « notre » version (notre lipsinc au spectacle de fin d'année en 1992)... le VHS ça ne se met pas sur le Web.



Partagez avec moi vos belles histoires d'amitié.

lundi 29 novembre 2010

Un restaurant, deux expériences : Pintxo

À une certaine époque, pas si lointaine, mon plus vieux a tout juste 7 ans, mon chum et moi pouvions décider d'aller prendre un verre spontanément... c'est-à-dire qu'en 15 minutes à peine, nous pouvions être assis devant notre premier Mojito (au Barraca sur Mont-Royal) ou devant notre Harp (au Else's sur Roy). Sans soucis... à part l'anticipation d'une gueule de bois le lendemain!

Aujourd'hui, il faut regarder nos horaires et la disponibilité des gardiennes de nos garçons (Gaëlle, Bernard, Alexandra, Suzanne et Roger ou Édith et Hervé). Il faut choisir un resto et nous occuper de la réservation. Le plus important, il faut nous assurer que ce n'est pas un soir de pleine lune... mon chum est un loup-garou. Je ne vous l'avais pas dit dans un autre billet?

Pour nous, les sorties en amoureux sur un coup de tête, ce n'est malheureusement plus possible. Par contre, sortir en famille, c'est tout aussi agréable.

Pour notre 9e anniversaire de rencontre, nous nous sommes payé une belle sortie au restaurant d'origine espagnole, le Pintxo. Il est situé au 256, rue Roy Est, à Montréal, entre la rue Saint-Denis et le boulevard Saint-Laurent. Un secteur du Plateau-Mont-Royal où il y a de la vie!

Nous nous étions dit que nous serions raisonnables, que nous ne commanderions pas toute la carte du menu... mais comme à notre habitude, dès que nous avons franchi la porte du restaurant, les effluves enivrants des plats mijotés nous ont fait perdre tous nos moyens. Toutes nos résolutions sont alors parties en fumée et l'ogre en nous a resurgi.

Maxence, grand-maman Suzanne et Ludovic
Contrairement à mon chum, j'étais en terrain connu. Une semaine plus tôt, j'y étais allée avec ma maman. Une superbe soirée mère-fille. À refaire plus souvent, hein mom? Lors de cette première sortie, ma mère et moi avions fait d'une pierre deux coups : célébrer nos anniversaires. Ma mère est partie de Sherbrooke à Montréal pour fêter, mais aussi pour se gâter un petit peu beaucoup et voir ses petits-fils Maxence et Ludovic. Ah! l'amour d'une grand-mère...

Revenons à nos moutons lors de ma sortie en amoureux. Je savais donc que nous allions adorer notre expérience. Tout en regardant le menu, du coin de l'oeil, j'observais mon chum qui s'en léchait les doigts avant même d'avoir commandé. Son côté carnivore, qui lui vient de son père, Hervé (ex-boucher), le faisait saliver devant des plats de viande tels le boudin aux pommes et la bajoue de boeuf braisée. Être végétarien, ce n'est pas une option chez les Court.

Quant à moi, je suis plus du type poissons et fruits de mer, mais une bonne pièce de viande ultra tendre, cela me plaît bien aussi.

Le menu offre une gamme de succulents pintxos (tapas). On y retrouve entre autres du carpaccio de pieuvre, des filets de sardines marinées, du tartare de canard fumé et du foie gras poêlé.


Des entrées au dessert, en passant par le vin, nous avons adoré notre soirée. Un service courtois et attentionné, une ambiance magique dans un décor somptueux. À essayer de nouveau, ça c'est certain!

Les photos des plats proviennent du site Internet du resto.

Il aura fallu que nous déménagions à l'autre bout de la ville pour que nous essayions ce restaurant. Nous habitions à 2 coins de rue avant, sur Drolet. Ce qui nous a enfin décidés à y aller, c'est l'émission Guide Restos Voir durant laquelle Anne-Marie Withenshaw y est allée avec Stéphane Archambault, du groupe Mes Aïeux. J'adore ce groupe! Je vous laisse sur ma chanson préférée intitulée Dégénérations.